Blood Orchid: les sentiments au féminin. 
Chansons et récits

Assister au spectacle Blood Orchid, c’est vivre les sentiments au féminin par l’entremise des chansons de nombreuses auteures-compositrices-interprètes. Mi-récit, mi-concert, le spectacle trace le cheminement d’un cœur de femme, de l’indignation suscitée par le mouvement #Me-Too, au bonheur intense éprouvé lors de l’union sexuelle, en passant par le déchirement d’un amour perdu.

Pourquoi Blood Orchid ? Les fleurs d’orchidée sont d’une grande beauté. Certaines possèdent même un caractère quasi spirituel. De plus, elles sont sexuellement très complexes. On croit qu’elles existent depuis plus de 100 millions d’années, ce qui en fait l’une des variétés de fleurs les plus anciennes. Elles sont un fascinant mélange de terre et d’espace, de beauté et de subterfuge, de robustesse et de fragilité.

Blood Orchid
Le concert présente notamment des reprises de chansons composées ou popularisées par de grandes interprètes telles que: Edith Piaf – La Vie En rose & Ne me quitte pas; Bonnie Raitt – I can’t make you love me; Nina Simone – Everything Must Change; Nana Mouskouri – Every Grain of Sand; Joni Mitchell –  Both Sides Now; Eartha Kitt – I wanna be evil; Mercedes Sosa – Gracias a la vida; Rickie Lee Jones – Company,
et plus encore.

Parmi les chansons originales de Barbara figurant au programme:
Body
Lullaby for a deep sleep
Blood Orchid
The life I dreamed of
Bright woman of dark ages

Le prochain concert de Barbara: Centre des arts Shenkman.

Ce qu’en disent les médias:
«Chanteuse des plus douées, Lewis est surtout une communicatrice née.» – Montreal Gazette

«Lewis a une voix importante. Elle a sur créer un envoûtant sentiment d’extase.» – The Chronicle, Halifax

«Génial ! Impressionnante prestation de Barbara Lewis. Foule enthousiaste, émerveillée par l’étendue de son registre vocal.» – Barbara Taylor (London Free Press)

À propos du CD original de Lewis :
«Hara’s Quest est une œuvre ambitieuse et admirablement conçue dont l’originalité et la maturité repoussent les limites de la tradition New Age.» – 
New Life Magazine, New York